Qu’est-ce qui fait un grand pays d’innovation ? Plusieurs facteurs sans doute y participent, y compris ce à quoi on ne pense pas en premier lieu : l’expérience de… l’échec.
En France, sont mis en avant les entrepreneurs qui ont réussi. Mais l’entrepreneur est-il celui qui toujours réussi ? Dans de nombreux pays, l’échec est ce qui conduit au succès, l’un n’allant pas sans l’autre. Ainsi, aux Etats-Unis, en Israël, en Suède, l’entrepreneur ne se cache pas des échecs qu’il a subi au long de son parcours, qui sont perçus comme un gage de succès et une condition de réussite.
Pas en France, où l’échec fait peur, dès l’entrée à l’école. Le système éducatif français serait à l’origine de cette perception négative de l’échec.
Alors ne faudrait-il pas renverser cet état d’esprit et considérer que l’échec peut être nécessaire au succès ?
Oscar Wilde a dit : « il faut toujours viser la lune car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles. »
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Et pour aller plus loin, Maxime Blondel, entrepreneur de 22 ans, raconte ici l’échec de sa première start-up.